Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover
il y a 10 ans
Par Ecrivaillon
Suite à la mésaventure de Martine, obligée de passer une journée entière dans des couches et de se faire dessus, il n’y a eu aucune dispute, c’est même comme si leur complicité c’était accentuée. Elle joue beaucoup de la surprise qu’elle lui réserve mais sans rien lui dévoiler.
Le chapitre un de l’histoire est ici
Le vendredi suivant, Henri apprend en rentrant du travail que Martine a décidé d’utiliser son « libre choix », traduction pour ceux qui prennent ce récit en route, que l’un des deux du couple peut imposer un jeu à l’autre.
- Je te veux nu comme un vers dans la baignoire dans 2 minutes. Indique Martine avec un sourire terriblement takin posé sur les lèvres et un regard brillant.
Henri beau joueur s’exécute donc comme demandé en se demandant à quelle sauce il va être mangé. Lorsqu’il voit sa femme entrer dans la salle de bain, son visage joyeux ne lui dit rien qui vaille mais il n’a d’autre choix après ce qu’il lui a fait que d’abdiquer. Martine lui donne le bain comme un bébé, en le traitant réellement comme un bébé tout en sachant que la régression n’est pas son truc. A la sortie du bain, une sacrée surprise l’attend ! Elle le conduit à la chambre et l’invite à se coucher sur le lit où elle le talque comme un bébé avant de lui prendre la température avec un thermomètre conventionnel. Que Martine touche à son anus ne le rend pas très joyeux ! ! !
A la lecture de sa température de 37°2, Martine estime qu’il a besoin de deux suppositoires ! Henri commence à réfuter mais son épouse lui rappelle qu’il lui doit un « libre choix » avant de lui mettre deux suppositoires à la glycérine puis de le langer avec un insert, deux couches et une culotte en plastique. Le fait qu’elle n’utilise pas la culotte en plastique qui se cadenasse le rassure, s’il savait…..
Avant de le coucher, Martine lui fait mettre un de ses bodys galbant dans le but de le féminiser un peu puis de bien maintenir les couches, la suite du piège étant de taille…. Henri cède à ce caprice la mort dans l’âme puis découvre que son épouse a acheté des menottes dont elle se sert pour lui entraver les poignets à la tête du lit. S’il est AB et peut se complaire à être changé, présentement, il sent bien qu’un piège se referme sur lui. Abandonné sur le lit un petit moment, il ne s’étonne pas de la voir arriver avec un biberon, accessoire qu’il n’apprécie pas mais qui quelque part, n’est que justice par rapport à son erreur. Un Bandol rosé au biberon même bien frais, n’est pas terrible, mais il accepte sans rechigner de se faire ainsi materner sans savoir qu’elle y a additionné une poudre facilitant le transit intestinal.
En guise de repas, le beau bébé adulte étant soi-disant malade, en maman attentionnée, Martine lui pose un bavoir de fortune pour lui faire manger de la Floraline à la petite cuillère puis un petit pot qu’il aurait préféré insipide dans il est indigeste ! Pour qu’il savoure bien sa soirée, la dite maman lui impose un café au biberon, chose qu’il évite sans quoi il a bien du mal à trouver le sommeil. A l’aide d’une sangle, Martine loge un coussin entre ses jambes pour l’obliger à les garder écartées sous prétexte que c’est bien pour sa santé. Henri commence à râler et à trouver qu’elle pousse le bouchon trop loin, en guise de réponse, elle l’embrasse avec fougue et lui donne le sein en lui indiquant qu’elle s’éclate.
Estimant que la tété est terminée, Martine lui indique qu’elle va au cinéma avec une copine devant passer la chercher ce qui justifie qu’elle ferme la porte de la chambre pour qu’il ne soit pas vu en bébé fille. Cette fois, Henri s’énerve mais en épouse attentionnée, elle l’apaise en lui indiquant qu’elle lui fera une bonne surprise s’il est sage en soulevant sa jupe pour lui faire voir ses fesses nues. Il n’est pas dans les intentions de Martine de quitter la maison, elle fait simplement en sorte de lui faire croire et surfe tranquillement sur Fessestivites où elle retrouve ses nouvelles copines sur le chat et en webcam.
Le gros bébé entravé quant à lui commence à trouver le temps long, les menottes d’ABCplaisir ne lui laissent aucune échappatoire possible. Vers minuit, alors qu’il commençait à s’assoupir, son épouse toute excitée débarque dans la chambre et l’enjambe pour s’asseoir sur son ventre et l’embrasser en caressant sa poitrine pour y faire pointer les tétons masculins sensibles. Désorienté, Henri commence à planer dans les sphères de l’abandon quand soudain, elle fait volte face pour lui offrir son minou à déguster en s’appuyant sur son ventre d’une main et en tapotant sur la couche de l’autre au niveau de l’entrejambe. L’envie pressante d’Henri se fait sentir, si jusqu’à présent c’est elle qui était obligée de porter des couches, il n’a pas d’autres choix que de s’y abandonner et de découvrir à son tour les sensations du pipi couche en trouvant le courage dans l’intimité de sa femme devenue « Maîtresse » d’un soir.
Le marécage dans lequel navigue sa langue lui permet de constater que son épouse prend grand plaisir à le martyriser. Après avoir pris son pied, la Maîtresse redevient maman, elle couvre le beau bébé, lui fait un bisou sur la joue et se couche près de lui après avoir éteint la lumière. Si pour Martine, la nuit est paisible, pour Henri elle est toutefois perturbée pour cause de café bu à la mauvaise heure et de pipi intempestif à faire en étant couché.
La réelle surprise d’Henri se déroule le dimanche matin quand il se réveille seul, Martine ayant quitté la chambre discrètement. Il a beau l’appeler, rien ne se passe, aucune réponse. Une prodigieuse envie de déféquer l’oblige à essayer de serrer les fesses en écrasant le coussin qu’il a entre les jambes. Vers neuf heures, lorsqu’elle débarque dans la chambre avec un biberon, il la supplie de le libérer pour aller aux toilettes, chose qu’elle accepte dans un avenir proche et après le biberon de café. Sentant venir la catastrophe, il tête donc comme un bébé affamé et assoiffé pour être libéré au plus tôt mais c’est sans compter sur les idées sadiques de son épouse extrêmement aimante en ce samedi matin. Le biberon entièrement consommé, Martine s’allonge sur son bébé pour une séance de chatouilles et de monstrueux bisous dans le cou de son gros bébé adulte.
Ce qui devait arriver, arriva est l’expression consacrée ! Entre les chatouilles, le poids de son épouse sur son ventre et les bisous dans le cou qui lui donnent des frissons, le pauvre Henri ne peut contenir ce que l’on appelle un « pet foireux », un de ceux qui génèrent de sérieuses traces de freinage loupés ! Mort de honte et très en colère il engueule sa femme restant d’un calme olympien.
-
Je suis profondément désolé mon chéri d’amour, je n’ai pas fait exprès d’oublier les suppositoires à la glycérine, maman va s’occuper de toi et te libérer mais je crois que tu devrais porter une couche ce matin en cas de récidive.
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Je te hais !
-
Et moi je t’aime gros bêta ! Lui répond Martine en l’embrassant avec fougue. Tu m’as fait découvrir quelque chose, j’ai fait de même, étant ta blonde unique et préférée, il est possible que j’ai oublié les suppositoires à la glycérine. Je suis prête à assumer mes erreur, est-ce que je te change ou tu le fais tout seul
-
Je vais me débrouiller tout seul si tu me libères !
EPILOGUE
Depuis ces deux évènements mémorables les fameux « libre choix » établit entre eux nos deux amoureux prennent parfois des dimensions folles tant en ABDL qu’en BDSM dans une grande complicité d’amour sans aucun tabou.
Ecrivaillon
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